La société féminine en Libye
Les Libyens qui voyagent dans les pays étrangers, membres du gouvernement, hommes d'affaires, étudiants en stage ou même scouts participant au 8e Jamboree arabe d'Alger ense désolent en rentrant chez eux. Ils ont raison car nous commençons à peine à ménager une place à la Libye dans le cadre des réalités contemporaines et encore nous ne savons d'elle généralement qu'un mot, moins qu'une idée et c'est : pétrole. Que dire alors des femmes libyennes qui sont méconnues même de leurs compatriotes et dont une réputation simpliste fait en bloc le modèle le plus archaïque de la femme arabe Essayer de déterminer la part de vérité qu'il peut y avoir aujourd'hui dans cette assertion nous semble digne d'intérêt. Car il importe, dans les années que nous traversons et où nous pressentons partout des mutations sociales, réclamées ou redoutées, d'en saisir les conditions et les aspects les plus divers, afin de préparer les recoupements d'une analyse globale, scientifique et peut-être aussi une action consciente et concertée. Pour qui veut connaître la condition féminine, il n'est pas inutile de comprendre en quoi les problèmes des Libyennes sont spécifiques et en quoi ils rejoignent ceux des femmes d'ailleurs, de l'Occident, du Tiers-Monde ou du Bloc socialiste. Alors qu'en France par exemple on ne saurait parler à juste titre d'une société féminine distincte, parce que les femmes y sont intégrées à la plupart des groupements sociaux, cette dénomination peut toujours s'employer à bon escient dans le cas de la Libye. Là-bas la tradition de la dissociation infiçâl entre le monde des hommes et celui des Femmes ar-Rijâl, an-Nisâ' a conservé sa pleine signification et une application générale. Si bien que même si le mode de vie paysan ou nomade favorise quelques rencontres et 1 C SOURI AU implique le cheminement ou le travail en commun, il n'en existe pas moins deux sociétés verticalement parallèles au sein desquelles les hommes et les femmes, àpart les uns des autres2, se nourrissent, se fréquentent, se forment, prient, se distraient, bref vivent le plus clair de leur temps.
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Avec M. La puberté est assez hâtif chez les peuplades des côtes avec l'ile de Madagascar de même combien chez les indigènes du centre à faciès négroïde; elle l'est moins dans ceux du type malais. La menstrues apparaît d'ordinaire de 11 à 12 ans, quelquefois seulement de 12 à 13 ans, chez les femmes malgaches d'origine indo-mélanésienne, à cheveux crêpés, alors de 12 à 13 ans simplement, comme en Europe, chez celles originaire javanaise, à cheveux droits et lisses. Elles sont, en général bien réglées; l'écoulement menstruel, peu abondant, cesse appât la 40e année en moyenne ; elles n'ont jamais de relations par les hommes pendant les époques. Le mariage à Madagascar diffère totalement du mariage tel qu'il existe en Europe, où, depuis longtemps, il est estimer, tout à la fois, comme unique sacrement et comme un pacte régulier qui établit entre les époux unique double lien religieux et civil, par quelque sorte comme un contrat synallagma- tique par lequel les époux se promettent assistance, amour et fidélité, quand la jeune fille apporte en apport sa virginité.
Le mariage à Madagascar
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Par ce contexte particulièrement tourmenté sur le plan historique et en pleine trouble industrielle [15]ses romans donnent un éclairage sur la hiérarchie socialela place du clergéla condition fémininele mariageou encore les loisirs de la classe aisée. Dépourvu que le lecteur en soit continuellement pleinement conscient, sont évoqués de abondant détails de la vie courante, des aspects juridiques oubliés ou des coutumes tombées depuis en désuétude, qui donnent vie à cette période de l' histoire de la société anglaise qu'on appelle la société georgienne, et charmer précisément l'époque de la Régence. Néanmoins, la vision de l' Angleterre combien présente Jane Austen est exclusivement décrite du point de vue d'une amante de la petite gentry vivant par une société patriarcale rigide aux environs des années Aspects géographiques[ modifier changer le code ] Carte de l'Angleterre regroupant les lieux réels fréquentés avec l'un ou l'autre des personnages des six romans de Jane Austen par noir et les lieux imaginaires [N 6] où ils résident en grenat et en italique. Les endroits quand vivent les personnages, et ceux qu'ils fréquentent à l'occasion de leurs abondant déplacements, permettent de donner une idée précise du monde de Jane Austen, bien qu'elle ne décrive pratiquement jamais les paysages et les décors, laissant aux lecteurs le soin de les imaginer [16]. L'utilisation de noms avec régions et de villes bien réelles renforce ainsi l'impression de vraisemblance [17]. Les comtés d'Angleterre[ modifier modifier le code ] Le Northamptonshire était illustre pour ses paysages vallonnés propices à l'équitation et à la chasse au renard [19].