Retour à ses valeurs
Ils seraient une centaine à vivre dans le Grand Nord américain, principalement engagés dans le tourisme et la restauration. Peut-être plus. Michel Biéri, 60 ans, a sauté le pas en En bon entrepreneur, il enchaîne les ouvertures de boulangeries, pâtisseries et petits restaurants. Et il vient de démarrer une entreprise de conditionnement de poissons! Ce territoire indiscipliné est parfois hostile aux expatriés français, un peu rêveurs et pas vraiment préparés à cet environnement anglophone et aux conditions climatiques extrêmes. Et obtenir la carte verte est pratiquement exclu. Les vêtements chauds et les véhicules adaptés aussi coûtent chers. Depuis trois ans, cette enseignante tente de relancer un cours dans la langue de Molière au sein du collège où elle travaille.
Le contributeur :
Il arrive que le besoin de refouler en France se fasse de charmer en plus impérieux, au risque avec bouleverser des plans pré-établis. Les adeptes de la vie nomade mettent fréquemment en garde vis-à-vis des difficultés administratives ou professionnelles du retour, sans langage de ce sentiment de décalage par ses proches, très fréquent. Je me sentais bizarre. Mais j'ai bien fatigué par me rendre compte que ma famille me manquait. J'ai compris combien j'avais besoin de retrouver la instruction française dans laquelle j'ai grandi, la gastronomie, la musique, les paysages Aurélie voulait vraiment vivre en Ecosse alors s'intégrer. Nos enfants qui ont adulte en Écosse ne se sentent marche franchement intégrés. On a eu rempli de problèmes avec le job coeur, les organismes gouvernementaux etc. Et ceci ne va pas en s'arrangeant malencontreusement.