Une mise en scène de soi

A Prades, le fief pyrénéen de Jean Castex, le virus du complotisme circule librement. Publié le 05 octobre à 14h00 - Mis à jour le 09 octobre à 13h Pixels fait le point sur le phénomène. Après mise à jour, ses utilisateurs ont vu surgir à la place un autre bouton sur leur écran, celui de TikTok.

Un curé sur TikTok

Influence photo, AFP. Mawada al-Adham était l'une des cinq stars des médias sociaux emprisonnées et condamnées à une contravention. Mawada, une étudiante universitaire de 22 ans, a été condamnée le rétribution dernier à deux ans de cachot après avoir été reconnue coupable avec violation des valeurs familiales égyptiennes. Elle a été arrêtée en mai ensuite avoir publié des vidéos sur TikTok et Instagram, où elle faisait avec la synchronisation labiale sur des chansons célèbres et dansait dans des accoutrement à la mode. Le procureur a jugé ses vidéos indécentes. Mawada a plus de trois millions d'adeptes avec TikTok, et 1,6 million sur Instagram.

D’accord. Mais que fait-on sur TikTok ?

Des jeunes chrétiens y parlent ainsi dépourvu filtre de leur foi et avec leurs convictions. Pries-tu tous les jours? À lire aussi : Sur Instagram, la jeune génération catholique assume sa foi sans filtre. À la grâce du confinement, les téléchargements de l'application TikTok ont explosé. Et à aspect des politiques, qui sont de charmer en plus nombreux à y percer un comptela foi religieuse devient également un vrai sujet de conversation. Avec son compte, elle raconte sa ardeur de prières, partage ses passages favoris de la Bible Le tout par une honnêteté presque déconcertante.

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